
Séjour dans le centre-ville de Nice
Architecture, Nature, Culture… et Côte d’Azur !
Capitale de la Côte d’Azur, riche d’une histoire mouvementée, d’un climat privilégié et d’une lumière recherchée, Nice vous accueille et déploie pour vous séduire des atouts dont elle ne manque pas.
La Basilique Notre-Dame de l’Assomption, si elle n’est pas la plus célèbre des perles niçoises, est en tout cas la plus proche de vous : elle vous prête le flanc dès que vous mettez le nez hors de l’hôtel. Erigée dans le style néo-gothique et dans le dernier tiers du XIXe siècle, sa façade inspirée de Notre-Dame de Paris dresse vers l’est une imposante rosace que vous ne pouvez manquer. Les cloches peuvent sonner pour les célébrations entre 9h et 19h (mais jamais la nuit ni au petit matin, vous dormirez bien au calme sur notre zone piétonne).
Au-delà de ses sept kilomètres de long, que de chemin parcouru depuis 1820 par la célébrissime Promenade des Anglais, de réputation mondiale ? Sentier devenu autoroute urbaine sur certaines portions de son parcours au fil de multiples transformations successives, elle se déploie toujours d’est en ouest en un arc souple où souffle une brise constante, caressant entre autres la façade de la Villa Masséna, musée d’Histoire locale. Si l’air et le désir vous poussent vers le Jardin Albert 1er, vous y goûterez les délices de la promenade, à la manière de la bonne société du XIXe siècle : fontaines, vastes pelouses, kiosque à musique, théâtre de verdure… tout y est, dans un large décor de roseraies et de palmiers, face à la mer.
À quelques dizaines de mètres, les façades ocre rouges ou jaunes de la Vieille Ville, les marchés et les bâtisses baroques du Cours Saleya, avec ses vibrations si particulières qui attirèrent tant de peintres, dont Chagall et, bien sûr, Matisse. Ces deux immenses monuments de la peinture ont d’ailleurs chacun leur musée sur les hauteurs de Cimiez, qui s’enorgueillit aussi de quelques joyaux d’architecture victorienne… Entre les artistes et la Nature, du haut de cette colline, … on ne sait plus où porter le regard ! »